CaptureOne 21 | Usages de base…
Bref workflow après une sortie nature…
dans
nazbrokology |
photo
par Jean-Christophe Courte
Suite au billet dédié au usages de Plantnet | Pour découvrir la flore de son territoire, un petit prolongement de mon propre usage de CaptureOne 211 qui s’avère, avec le temps, n’être pas un outil compliqué à utiliser2…
Une session par sortie…
- Importez vos images dans une nouvelle session, pensez à bien renseigner à gauche l’option Description…
- Sans oublier — en dessous — de spécifier avec quel Style vous souhaitez traiter automatiquement vos images…
- Une fois validé quelles images vous souhaitez récupérer (généralement toutes), CaptureOne va traiter ces clichés (…ou pas, selon la méthode que vous avez déterminé… Pour ma part, je copie les RAW de ma CompactFlash vers un dossier créé sur un disque dur externe dédié…) puis créer des prévisualisations…
- Selon les circonstances/besoins/humeur, je modifie en batch le rendu de toutes mes images en une seule fois, quitte à modifier individuellement chacune d’entre-elles au cas par cas à nouveau…
- Comme toutes les photos restent sélectionnées, je leur attribue par défaut une série de mots clés, idem en batch…
- J’en profite ensuite pour renommer ces mêmes clichés…
- …opération assez rapide comme toutes les autres…
- Minute parano : Avant d’aller plus loin, je monte en arrière plan un disque de sauvegarde et je lance SuperDuper!, une application indispensable3 selon moi…
- Puis je continue à bosser sur ces images : corrections, horizontalité, suppressions des clichés foireux (en masse !!) mais sans panique …vu que j’ai toujours le recours au contenu de ma CompactFlash au cas où…!
- Et bien entendu rapide notation (en gros, image à développer ou pas, sachant que parfois je garde d’autres clichés en backup quand je n’arrive pas à me déterminer…).
- Et donc, à la fin, je n’affiche que les images à convertir en JPG (Attention, le chiffre 79 sur le copie d’écran peut être trompeur : le hasard fait que j’ai mis de coté autant d’images que celles sélectionnées…, ça va sans dire mais c’est mieux en le disant)…
- CaptureOne me permet d’exporter/traiter mes images simultanément dans plusieurs dossiers (tout ceci ne s’improvise pas : comme les styles, la gestion du nommage, les mots-clés, les types d’exports — avec ou sans filigrane — se réfléchissent murement. Mais quel gain de temps ensuite…).
- Dans mon cas : un dossier haute définition (créé à chaque session par CaptureOne) et un second (fixe) pour les exports au format dédié au Web…
- Pour finir, j’optimise tous mes JPEG (les gros comme les petits !) avec JPEGmini Pro 3, histoire de gagner de la place…
- Puis range mes fichier JPEG haute résolution dans le dossier du jour sur mon disque externe de travail avant de relancer SuperDuper! pour réaliser non un mais deux clones… (J’alterne avec quatre duplicatas)
Voilà…
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Migration douce vers CaptureOne | 2 fin novembre 2020… ↩
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En sachant que je dois employer CaptureOne à 10 % de ses capacités, bien suffisantes avec notre boite à pixels hors d’âge… 2008 ? ↩