Après plus de 48 heures, rapide point d’un utilisateur lambda qui n’a pas vocation à réaliser un test pointu comme ses copains journalistes !
J’ai employé la limite de charge à 80 % pendant 48 heures. J’attends de prendre le temps de parcourir un article explicatif sur son utilité chez Audrey (la référence de ma fille — ingrate ! —qui apprécie la limpidité de ses explications…! Et elle a bien raison…!).
Ceci explique pourquoi ce matin, je suis revenu à la charge 100 % complète et me suis interrogé sur les modes concentration pour en créer un spécifique adapté à mes sorties qui prendrait en compte automatiquement l’option économie d’énergie…
Seule la luminosité de l’écran m’interpelle ! Comme sur le 15, le mode en veille (écran) est désactivé.
En extérieur, pas de gain notable quand je cadre mais à vérifier si cela lié à mes choix d’autonomie de la batterie ! Il se peut que tout ceci soit identique à ce qui se passait auparavant sur le 14 Max mais j’y suis plus sensible actuellement…
Paradoxalement, ayant l’habitude de viser instinctivement, cette faible luminosité de l’écran ne m’handicape pas mais, sur ce plan, pas de différence notable et boulversifiante par rapport au 14…!
Modes concentration
Ce matin, j’ai revu ces divers modes et cela donne…
Conduite qui ne s’active que quand je suis au volant (mais aussi dans le bus !) et même dans le train parfois…

Accessible reste « le » mode par défaut dans la journée

Ne pas déranger s’active automatiquement la nuit. Le visuel que j’ai sélectionné est assez lumineux.
Explication : si j’appuie sur l’écran, j’ai droit à 5 secondes de cette veilleuse pour lire l’heure (je fais une allergie à l’affichage permanent de l’heure…) ou d’atteindre ma bouteille d’eau…!

Photo est un mode fourre-tout que j’appelle avec le bouton action disponible sur le 15. La batterie bascule en mode économie d’énergie, les notifications sont masquées et le visuel employé a été pris à la brûlerie de café place Richelme samedi en faisant provision de Harrar.

Bref, je suis encore en mode découverte.
Dans tous les cas à partir de ces écrans, un glissé…
- vers la gauche dévoile l’appareil photo
- vers la droite… mes widgets météo et calendrier
- vers le haut… les notifications…
La reconnaissance du visage déverrouille instantanément ces derniers…
À suivre.
Rapide billet qui irritera quelques personnes qui ne comprennent (toujours) pas pourquoi on change d’iPhone quand celui que l’on avait en main fonctionnait parfaitement.
Je ne vais pas invoquer un prétexte à lak (…il était en vrac) ou m’appuyer sur le fumeux concept de l’obsolescence programmée.
Non : j’ai eu l’opportunité de basculer vers un 15 Max alors que je n’étais PAS pressé. Explications…
Légitime incompréhension
Si votre téléphone vous sert exclusivement à envoyer des SMS, consulter vos notifications Facebook ou Twitter, il est clair qu’on ne va pas se comprendre.
Or vous avez mille fois raison : conservez en ce cas votre ancien téléphone ! Ma fille et ma moitié conservent leurs précieux (13 Max et 7+).
Par contre, si vous avez l’habitude d’employer votre téléphone quasiment six heures par jour pour rédiger des notes, prendre des tas de clichés, vous déplacer sur un territoire inconnu en vous repérant avec une carte embarquée, lire des journaux, écouter la radio, répondre à des pouëts sous Mastodon, peut-être que ce billet vous amusera.


Avant de me lancer dans ce changement, j’étais allé sur l’app Apple Store sur mon iPhone. Celle-ci me proposait de reprendre mon iPhone 14 Max pour un prix raisonnable mais je n’étais pas intéressé.
Le fameux jour des réservations, j’y suis retourné par curiosité et laissé tranquillement échapper trois options de commande avec livraison à date fixe. La dernière m’amenait fin novembre alors que je devrais être rentré sur mon île…
Bref, j’ai interprété cela comme un… signe du destin (!) et suis passé à autre chose…
Fin du premier acte…
Acte deux : le 15 s’invita…
Pourtant, c’est une succession de circonstances qui m’a amené à obtenir ce 15 ce vendredi matin dès 10:00…!
Arrivant de Bretagne mi septembre pour la rentrée universitaire, je suis passé saluer tous mes amis sur Aix-en-Provence… dont Fabrice, technicien d’exception chez un épatant revendeur agréé pomme…!
Il m’a dépanné les années précédentes, notamment pour le redémarrage de mon vieux MacBook Pro de 2009 et même obtenu l’an passé un 14 max.
Bref, en milieu de semaine dernière, nous avions discuté des suites de la Keynote, on s’échange des infos, etc. La suite tombe sous le sens quand il m’a proposé samedi dernier de me réserver le modèle de mon choix…
Je n’ai pas été long à convaincre vu que j’ai utilisé l’iPhone 14 Max pro une année entière, qu’il m’a accompagné en Bretagne comme en Italie. Je l’avais acquis préventivement pour la qualité des clichés et je n’ai pas été déçu !
Seule la dissipation thermique de l’acier inoxydable m’a parfois posé des soucis (attendre que l’iPhone refroidisse lors de la canicule pour continuer à l’employer) quand nous voyagions ou vivions sous des températures extrêmes…
Transfert rapide…
Ce matin, je suis arrivé pile-poil à 10:00 et suis reparti vers 11:30 en ayant intégralement réalisé le transfert de mes données d’un iPhone vers l’autre.
J’apprécie :
- le poids (lire ce billet)
- la célérité du processeur (…et donc du post-traitement des images)
- la possibilité de limiter la charge de la batterie à 80 %
- le fameux x5 qui offre l’équivalent d’un 120 mm
- le fait d’avoir tout retrouvé après le transfert (hormis, malheureusement, Marvin)
- la facilité offerte (par Free) pour transférer ma eSIM (conservez un autre écran connecté à internet pour scanner le QR code et saisir ensuite le code)
- j’ai rechargé ensuite nombre de cartes embarquées (TomTom ou Mapy.cz) mais également les apps que je teste en beta…
- sans oublier la qualité des images (et l’interface de l’app photo d’Apple)…
De ceci, je causerais plus tard car nous allons repartir en randonnée demain…
À suivre (ou pas)…
Pas comme un marteau, bien entendu (!) mais comme une liseuse de ePubs ou un simple appareil photo, radio. Voire une machine à écrire, une carte d’orientation, un outil d’identification de la flore, etc.
Je trouve ridicule de fustiger l’écran : le iPhone n’est pas qu’une machine à recevoir ou expédier des sms, à se connecter à un réseau social.
Ce sont vos usages qui sont essentiels.
Là, je poursuis sur Drafts un billet démarré il y a quelques jours.

Je suis face à l’océan.

Au loin devant moi, l’île de Noirmoutier — que je ne peux discerner —, juste la forêt lointaine d’éoliennes qui se dissout à l’horizon.

J’entends très distinctement le ressac sur ma droite. Et j’emploie cet écran qui m’offre mille possibilités.
J’arrache quelques invasives (griffes de sorcière) pour redonner du territoire aux orpins et aux silènes…
Bref, ne vous laissez pas contaminer par tous ces prêcheurs de l’église de la bonne attitude, la leur (…ou la mienne :-) !
Faites ce que vous avez envie de faire, avec ou sans écran !

En remontant, quelques salicaires jalonnent mon chemin…