Ciao Mastodon…

Pas d’adieu définitif, n’hypothéquons pas l’avenir, gnagnagna, etc.

La mue ne s’est pas effectuée en 24 heures¹, j’ai douté (je doute encore…!).
Mais je commence à trouver mon rythme et, à nouveau, saouler (!!) les inconscients qui se sont abonnés à mon compte…

Bon, toutes les méthodes pour couper court(e) sont exposées…!

Alors, heureux…?

Je ne peux pas m’empêcher de vriller…
Oui, les quelques dizaines de personnes qui me suivent (et que je suis) ont des idées bien arrêtées (et tant mieux) mais le truc dingue est : on s’écrit sans se foutre sur la tronche. Et même quand ça dérape un chouïa, chacun fait son mea-culpa et hop, on continue à échanger.

L’environnement nous préoccupe et chacun, à notre manière, fait un effort pour notre bateau commun, cette planète que nous partageons…

Bref, comme l’a écrit Benoît, climat plus serein (ou moins toxique) que sur #Muskland ou #Zuckland.

Deux salles, deux ambiances…

Autant Twitter est géré par une tétrachiée de développeurs, autant Mastodon reste une petite équipe fédérée autour de Eugen, équipe qui est rémunérée par des dons…

Je comprends que Mastodon ne perce pas…
C’est presque un argument pour y rester au lieu de repartir sur Twitter qui est 100 000 fois plus actif, où les clashs et les trolls sont légion…

Je conserve un pied dans Twitter mais ne poste plus…

De plus, les dernières saillies² du futur maître des lieux m’ont conforté dans ma décision de me… casser³…

À suivre…