Dès hier soir 18:00, c’était le lancement des promotions. Rarement sur des produits récents, essentiellement sur des objets toujours dans le coup mais dépassés de une à trois générations.
Mais parfaitement fonctionnelles si je cible les promotions des iPhones… Dans 95 % des cas (pourcentage au doigt mouillé), cela conviendra parfaitement, les iPhones X ou 8 restent d’excellents écrans.
Mais, trop souvent, c’est une manière astucieuse de vider les stocks de produits franchement inutiles. Bonne affaire pour les boutiques…
Avons-nous besoins de nouveaux objets ?!
Depuis quelques années, notre propre but était de liquider un gros tiers (…voire nettement plus) des objets récupérés des lieux de vie de feu nos parents et, par ricochet, ceux de notre propre cambuse.
Et on y allé à fond.
Après des caisses de bouquins données, des tombereaux de trucs divers redistribués ci et là en vidant les placards de nos aînés, les allers et retours à la déchèterie, ceux livrés à la ressourcerie dont des meubles qui occupaient un maximum d’espace, nous avons atteint notre objectif de vivre avec le minimum d’objets.

Il reste encore quelques éléments à recycler, les résidus de notre vie professionnelle d’antan (disques durs).
Mais la question reste posée : pourquoi continuer à acquérir des objets inutiles que l’on utilisera une ou deux fois ?
Mon but ? Continuer à voyager avec simplement un sac à dos !
Quand on utilise depuis longtemps un même traitement de texte, on a tendance à se reposer sur ce qui nous est proposé par le développeur.
Heureusement, même si la disposition des icônes de la barra additionnelle n’est pas due au hasard, quelques applications iOS nous permettent de chambouler l’ordre de départ, de masquer ou d’afficher des options dans leur barre additionnelle.
Ainsi l’épatant iA Writer sous iOS …avec juste un bémol : il faut simplement répéter l’opération pour chaque écran (iPad, iPhone).
Contrairement à Drafts !
Bien entendu, ce n’est pas l’unique raison (!!) pour laquelle j’emploie, de préférence, Drafts sous iOS mais il est clair que …ça joue comme on dit en Suisse !
Ensuite, Drafts me permet de créer autant de barres additionnelles que je le souhaite et donc de tester des dispositions multiples selon mes besoins.

Comme je l’avais déjà écrit dans un précédent billet, peuvent se ranger dans ces barres additionnelles — et dans l’ordre que je souhaite — des actions basiques puisées dans le Drafts Directory | Drafts Action Directory comme des actions nettement plus …complexes, scriptées.
Ces actions sont disponibles ici : Popular Actions | Drafts Action Directory pour les plus “populaires”.
À ce propos, Drafts propose également des sets prêts à l’emploi de barres additionnelles, sets que vous trouvez ici : Popular Action Groups | Drafts Action Directory

Après, à vous de faire le ménage dans ces propositions, de les compléter avec d’autres actions empruntées à quelques sets ou d’en soustraire dans un set qui semble contenir l’ensemble de vos besoins.

Et, bien entendu, les transformer, les adapter, les enrichir et en proposer à la communauté des utilisateurs de Drafts.
Ces pièces constituent un fabuleux mécano à assembler à votre guise. Et, encore une fois, vous n’êtes pas limité à une unique barre additionnelle (oui, je me répète), ce qui vous permet de les organiser par thèmes : une dédiée balisage markdown ; une autre pour les exports, etc.
Et c’est ici où je veux en venir.
Sous Drafts, pas de problème pour dupliquer une action et déplacer ce duplicata vers une autre barre additionnelle de votre choix.
Enfin tout ce que vous aurez pris le temps de constituer méthodiquement sur votre iPad se retrouvera sur votre iPhone (et réciproquement), ce qui est d’un confort absolu.
Si la barre additionnelle constituée sur iPad s’avère très longue sur iPhone, pas de panique ! En posant le doigt légèrement sur cette dernière vous allez découvrir qu’elle coulisse horizontalement ! Et que toutes les actions sont bien en place.

Ce billet est un simple rappel d’articles rédigés naguère sur ce même blog.
C’est tout.
Mon fidèle MacBook Pro 17 a dix ans !
Son SSD d’origine également.
Certes la technologie était nouvelle, certes le disque d’origine est devenu moins véloce au fil des années mais ce choix est assurément l’une des clés de la longévité de ce Mac portable.
Dix ans entre bureau et domicile (…dans un sac à dos pour survire au RER et un éventuel accident avec mon vélo Brompton), puis à me suivre ici ou là.
Et encore cette année en Espagne et dans bien d’autres lieux, pour finir de se poser à Aix-en-Provence avant de repartir pour d’autres destinations…!

Depuis deux ou trois ans, la carte graphique fatigue un peu et affiche imparfaitement la chromie de mes clichés.
Mais comme je prends mes photos avec un iPhone 11 Pro Max, c’est sur ce dernier que je gère les recadrages. Et accessoirement leur ambiance chromatique.
Pour le reste, mise en page du CV de ma fille ou dernières corrections de mes billets, montage d’éléments Illustrator sur des copies d’écran, je suis tellement habitué que les variations de couleur dues à l’affichage ne me dérangent pas.
Ensuite, depuis quelques années, c’est essentiellement à la main que j’écris mes billets, sur un iPad Pro grand format avec le Pencil d’Apple, sur Stylus ou MyScript Nebo avant d’exporter mon texte manuscrit converti en texte nu vers Drafts. Et le retrouver ensuite sur le MacBook Pro dans iA Writer
Je suis allé à l’Apple store de Aix-en-Provence voir de mes yeux le MacBook Pro 16, splendide, séduisant et assez coûteux pour le retraité que je suis désormais.
Bien entendu, j’aimerais retrouver une option sur ce dernier pour écrire à la main avec un Pencil en plus du clavier. Ou un bloc d’écriture à placer à coté. Mais mon iPad remplit très bien ce rôle et je m’en accommode quotidiennement.
Du coup, entre faibles finances et usages différents, voire nouveaux car forgés sur ces dernières années, je vais attendre. Et comme l’obsolescence programmée a épargné mon fidèle MacBook, on va continuer à faire quelques années ensemble…!
J’attendrais une opportunité, un reconditionnement, une éventuelle baisse de prix, une rentrée inopinée d’argent pour éventuellement me décider. Ou pas …car écrire à la main est désormais la fonctionnalité essentielle : je préfère cela à un bon clavier.
En attendant, j’ai opté pour un stockage de deux To sur le Cloud d’Apple, stockage partagé avec ma tribu.
Certes, ce sont trois périphériques pour mon seul usage mais ce MacBook reste généralement à poste, seul le iPhone m’accompagne pour de brèves balades d’une semaine.
Le rêve serait que le prochain 12 Max supporte le Pencil et que les développeurs de MyScript nous sortent une version iPhone de Nebo.
Pour conclure
Ce billet n’a qu’une- unique but : rappeler aux esprits chagrins qu’une machine utilisée de 2009 à 2013 quotidiennement puis un peu moins intensément jusqu’à fin 2019 (…pour nourrir urbanbike), un achat certes couteux alors, s’est avéré être un bon investissement.
Et sans Apple Care, à nous d’être respectueux de nos outils.
Bref, ravi de partager avec vous (…enfin les 3 derniers lecteurs plus ceux de passage…!) cette expérience professionnelle et non sponsorisée !
Certes, cela n’augure pas des qualités de la nouvelle gamme des MacBook Pro mais si je devrais impérativement investir professionnellement dans une nouvelle machine, il est clair que je n’hésiterais pas.
Mon unique souci reste comment transférer mes plus de 200000 photos actuellement sur des disques Firewire 400 et 800 vers un nouvel équipement…! J’ai quelques idées mais je reste fidèle aussi à ma version 5 de Lightroom. Donc il y aura aussi à bien réfléchir à cet aspect précis…
À suivre…
Ces derniers mois, je lis des billets, humeurs, tweets rageurs à propos des SUV. Tout le monde a un avis définitif …en oubliant qu’il n’y a pas un unique usage de ce type de véhicule mais bien des tas (et que la géographie peut avoir une incidence notable).
Oui, ça ne sert pas qu’a déposer ses rejetons devant l’école…!
Etant piéton 97 % de mon temps, je n’apprécie pas plus que vous, lecteur, la désinvolture de certains conducteurs à notre égard. Et ce, quelque soit l’encombrement de leur véhicule (gros ou petit, sans distinction), j’exècre ceux qui font fi du code de la route et nous menacent physiquement par leurs manœuvres absurdes, masqués derrière les vitres teintées de leurs habitacles.
Car, en ce cas, pourquoi souhaiter n’interdire que les SUV ?!
En ce qui me concerne, les rares fois où j’ai été agressé en tant que piéton sur un passage piéton en ville, voire en tant que conducteur (…toujours en ville), ce n’était pas par des SUV !
…peut-être un problème d’éducation ?
En France, si je m’arrête pour laisser passer une personne âgée ou un gamin, je ne compte plus les coups de klaxon, voire les insultes ou gestes vulgaires au feu suivant !
En Espagne, c’est l’inverse : les véhicules s’arrêtent d’emblée pour vous laisser passer comme piéton (…mais vous engueuleront — à raison — si vous le faites hors des clous). Je peux vous dire que c’est très agréable de voir le code de la route respecté.
Mais je m’égare : ces dernières années, je suis avant tout un piéton à 97 % (…estimation au doigt mouillé).
Et un piéton qui prend parfois le bus si trop chargé ou si ses jambes ne tiennent plus.

- Ce matin, le bus pour rejoindre mon vieux copain Thierry Seray…
Pour un petit pour-cent de mon temps, je me juche sur un vélo pour me rendre d’un point à un autre ou filer au marché.
Et les 2 % du temps qui reste ?
Je roule dans un méchant SUV.
Pourquoi pas un petit véhicule ?
Vous vous doutez que nombre de personnes refusent d’associer urbanbike à ça !
Et pourtant, même pas honte !
Certes, nous aurions pu acquérir un véhicule neuf, une petite citadine pas chère (…mais plus chère que notre véhicule de seconde main) ces dernières années. Sauf que non.
Le paradoxe réside dans nos usages.
La semaine, on ne roule pas. Mais dès que nous avons du temps libre, nous partons généralement à trois ou quatre et, souvent, chargés (…valises, meubles et même piano en Espagne) pour nous rendre ou revenir d’une destination éloignée.

- Ici, départ de Salamanca (en ayant laissé nos sur-matelas qui étaient roulés à l’aller et, heuuuu, pas du tout encombrants)…
“Mais une petite citadine fait parfaitement l’affaire !”
Toujours pas.
Pour des raisons qui vont de l’envie de rester sur la chaussée lors d’un épisode météo violent, un réel besoin de confort sur de très longues distances (…pas fan du mode sardines et buée) et les habituelles parenthèses sur routes défoncées ou disparues sous 15 cm d’eau.
Et, accessoirement, ne pas finir en mode puzzle en cas d’accident.
Bref, j’utilise un SUV, un vrai, un tatoué (!), de ceux qui tiennent sur la durée.
L’actuel est un Jeep de 2005 qui tutoie les 300 000 kilomètres au compteur. Nous l’avons acquis d’occasions début de l’an passé et fait entièrement révisé par étapes.
Son empreinte écologique n’est plus (…à la louche) que le carbone qu’il relâche quand nous l’utilisons, c’est à dire pas grand chose vu notre faible kilométrage.
Oui, le train reste la meilleure alternative quand nous ne sommes pas chargés. Quant à l’avion, c’est non.
Et comme expliqué plus haut, hormis de rares courses de proximité (une fois par mois…?), l’objectif est de couvrir de longues distances à plusieurs, non d’aller en voiture au supermarché à 400 mètres pour ne pas être mouillé au retour…!
Usage non urbain
En Espagne, ce Jeep nous a servi pour rejoindre des lieux éloignés (Salamanca est situé sur un plateau à 800 m d’altitude et il faut fréquemment franchir des cols localement, voire les Pyrénées pour revenir en France !).
Les villages de montagne comme La Alberca sont à une heure de route, les villes comme Valladolid ou Cáceres assez éloignées.

- C’est un poil montagneux, le différentiel de température étonnant (des journées entre -4° et 22°) et peu de mitage urbain…
Si le réseau routier est en bon état, ça se gâte parfois quand on arrive à destination …au bout du bout de la Sierra.
Disposer d’un véhicule avec une large garde au sol nous a fréquemment tiré d’affaire, que ce soit dans le Queyras, dans les Marches en Italie et, bien entendu, au Portugal comme en Espagne.
Un jour la fin du voyage
Tout ceci prendra fin un de ces quatre.
Le jour où nous cesserons de nous balader, nous larguerons sans regrets la voiture.
Sauf que celle-ci aurait été utilisée, usée et connaîtra (…sauf accident) un nouveau propriétaire.
En attendant, ce Jeep devrait pouvoir effectuer — avec parcimonie — 150 000 kilomètres de plus (…nous, peut-être pas…!) et nous permettre de retourner en Italie, en Espagne mais aussi nous balader dans les Cévennes, etc.
Certes, c’est un choix que l’on peut contester, dénigrer mais c’est le notre.
Maintenant, libre à vous de me caser dans la catégorie des abomifreux pas écolos (…or, ça se discute, vous avez quelques arguments ici et là), voire carrément cesser de lire Urbanbike… le (très) mal nommé du coup !
Puis rechargez-les quand vous en aurez à nouveau besoin, les fichiers et données associées étant toujours présents dans votre iPhone (ou iPad)…

De fait, les apps sont toujours visibles et prêtes à être rechargées illico : elles ne disparaissent pas des dossiers, même si ce ne sont que des enveloppes vides de code avec néanmoins nos données personnelles …qui n’appartiennent pas à l’application de base (et pour cause !).
J’ai tendance à conserver toutes les photos réalisées au format HEIC avant de les sauvegarder proprement dans ma base Lightroom depuis mon vieux MacBook Pro 17 pouces.

Même si ce format est léger, approcher les 8000 clichés sur l’iPhone prend de la place.
En attendant de tout sauvegarder proprement (…bien que déjà réalisé sur deux disques de 3 To mais deux autres de même capacité m’attendent en décembre…), l’espace sur le iPhone 11 Pro Max se réduit (façon de parler…!).
Du coup, j’ai testé préventivement l’option de déchargement des applications et effectué quelques copies d’écran pour illustrer cette manœuvre proposée par Apple sous iOS 13.
Il suffit d’appuyer dessus pour réinstaller l’app proprement.

Je passe par Réglages puis Général, Stockage iPhone pour aller décharger les apps que je n’utilise pas, le dispositif indique d’ailleurs la date de la dernière utilisation.

Ensuite les instructions à l’écran sont claires. Idem pour réinstaller depuis cette même voie…

C’est tout. À vous de voir !
Note de fin : je vais me calmer en terme de publication de billets même si je le fais essentiellement pour ma tribu et les quelques amis qui me lisent encore… Vu la publicité qui inonde — littéralement — urbanbike, vous vous doutez bien que c’est pour le plaisir et cette habitude un peu étrange de partager des connaissances même si celles-ci n’ont rien de crucial.
Et entretenir ce site me coûte moins cher que de consulter…!
Je ne pense pas (!!) que mon billet précédent — urbanbike | Fatigué de lire vos Livres ? Écoutez-les…! — intéresse grand monde mais, ce matin, j’ai exposé le principe à ma fille …qui l’a immédiatement installé sur son iPad.
Si l’italien, le portugais et l’espagnol ne lui posent aucun problème, c’est étonnamment l’anglais qu’elle a chargé car elle reconnait ses lacunes en prononciation, lacunes qu’elle résorbe peu à peu. Le russe comme le grec l’intéressent et, désormais, elle se débrouille pour préparer ses deux écrans !


Le choix des voix artificielles est important et celui de la version premium pas anodin pour la qualité des inflexions.

Certaines sont plaisantes mais, une fois à l’usage, à l’oreille, moins intéressantes. J’ai remplacé Paulina par Jorge en espagnol et Samantha par Daniel en langue anglaise.

Et c’est maintenant que je me félicite de pas avoir mégoté sur le stockage de mon iPhone !
D’ailleurs, pour l’anglais, vous avez un sacré choix…


Souligner les mots pour se repérer
Astuce si vous apprenez une langue, ajoutez
l’option surligner mais, pour mon usage, uniquement sur le mot prononcé.

Cela évite le déphasage avec le dispositif vocal et le choix d’une couleur douce pour ne pas être trop prégnant à l’écran.

Un appui pour réafficher la fenêtre dans son intégralité…

Bugs
Certes, il y a encore quelques ratés comme le fait d’avoir un mot en espagnol dans un ouvrage en français, mot qui force parfois la lecture du reste du paragraphe …avec l’accent espagnol.
J’aimerais bien disposer d’un outil de traduction dans Marvin 3 ou Apple Books juste pour être certain d’avoir tout bien compris.
Hormis cela, prendre son petit déjeuner, regarder par la fenêtre la Sainte-Victoire et écouter en arrière-plan un livre lu par mon iPhone au lieu du flot habituel d’informations déprimantes est parfait pour démarrer la journée.
À suivre (ou pas)…
Avertissement : ce qui suit prolonge un récent billet voyager avec un iPhone (…même si ce qui suit fonctionne également sur iPad).
J’aime lire en voyage mais, certains soirs, mes yeux finissent par se fermer seuls après une journée à galoper ci et là ! Et je n’ai pas toujours le goût de rédiger des notes devant un écran.
Du coup, je lance un podcast récupéré automatiquement par Castro Podcast Player ou sélectionné via l’application Radio France - podcasts, infos.
Castro enchaîne les contenus là où Radio-France me demande de choisir un nouveau podcast à la fin de l’écoute du précédent.
Ces derniers mois, j’écoute …mes Livres
Ici, pas question de livres audio avec un récitant magnifique, prestigieux.
Non, juste l’usage de fonctions disponibles sous iOS, des options puissantes connues des personnes avec handicap, un domaine sur lequel Apple travaille depuis longtemps.
Il suffit de se rendre dans les préférences puis de chercher Accessibilité. Une section rarement explorée par les valides. Mais moi, qui balance entre deux âges comme le chante Brassens, j’apprécie désormais de fouiller dans cette épatante boîte à outils…
J’ouvre une parenthèse…
Pour replacer les choses dans le contexte, j’utilise depuis des années Marvin 3 qui possède la fonction Text-to-speech, bien pratique.


- Il est même possible de faire varier la vitesse de lecture…

Mais comme j’ai pas mal de livres dans l’application Apple Books (Livres) d’Apple, je ne suis posé quelques questions.
Dont …comment faire de même dans livres ?
Est-il possible de changer de voix ? \
Est-ce la même voix dans toutes les langues ? \
Voix féminine ou masculine, qualité des intonations, vitesse de lecture, etc.
Alors — au lieu de déraper comme d’habitude et pondre des tas de notes de bas de pages que personne ne lit — à l’aide de quelques captures d’écran et un minimum de texte, je partage avec vous, lecteur de passage, le fruit de ces explorations suite à mes questionnements…
Parenthèse fermée…
Contenu énoncé
Je reprends : se rendre dans les Préférences puis à Accessibilité…

Dans la liste des fonctionnalités d’accessibilité se trouve “Contenu énoncé”.

Pour démarrer, cochez simplement la première item de ce panneau, Énoncer la sélection. L’explication est clairement affichée sous la fonctionnalité,

Conservez le débit vocal à mi-chemin entre lièvre et tortue mais explorez également la fonctionnalité qui précède : Voix.

Pour chaque langue, une voix artificielle est disponible. Vous pouvez conserver ces réglages par défaut ou, par curiosité, explorer les options attachées à chaque langue. Et découvrir qu’il y a des voix féminines ou masculines, que ces voix peuvent être améliorées en qualité à vous chargez le fichier “premium” (…et si votre écran dispose d’une grande capacité de stockage). Mais aussi des voix “régionales”.
En Espagnol, j’ai chargé la voix de Paulina qui le prononce à la mexicaine, etc .
Aucun conseil à vous donner, c’est affaire d’oreille.

Ces réglages vous permettent déjà de faire lire une sélection de texte — ici dans Livres — par votre écran.
Énoncer le contenu de l’écran
Toujours dans le même panneau de Contenu énoncé, vous avez la fonctionnalité Énoncer le contenu de l’écran qui peut se cumuler avec les précédentes.

Cela vous permettra de faire lire la page de votre ouvrage dans Livres dès le début de ce qui est affiché…

…mais aussi dans Marvin, Safari (…ou Drafts, Ulysses, iA Writer) via un panneau de commande mobile.

Panneau qui va se réduire à une simple icône et se placer dans le coin haut à gauche. Et affichée à nouveau en totalité à la demande.

…pensez simplement à éviter de demander à faire défiler automatiquement le contenu de l’ouvrage dans Livres sous peine d’entendre ce dispositif lire le numéro des paragraphes (…j’opte pour un bug oublié qui devrait être corrigé un de ces quatre).
Bien entendu, cela ne remplace pas Guillaume Gallienne, c’est loin d’être parfait.
Mais le rendu sonore est satisfaisant quand je suis fatigué et cela me permet …soit de fermer les yeux, soit de suivre des yeux le texte dans une langue étrangère. Je n’évoque pas l’option de soulignement de la partie de texte lue, le surlignage, options à explorer si vous le souhaitez…
Et bien entendu, si le texte affiché est en espagnol, c’est Paulina en lieu et place de Thomas… Mais cela, vous l’aviez déjà compris…
Voilà, c’est tout !